Il neige Stockfotos & Bilder
RM2CF6P3E–. Journal du Yukon, 1847-1848. u-des-sous. Au-des-sus. Au-des-sous. 22 dez . 10 t i7 20 188 183342 7 11 5 5 2232517 7 1635f8 N.-E.N.-O. 0.S.-O. N.-O. 0. 10. ! 1 Nuageux; vent léger; nuit 23 M brumeuse Mais claire; große Cercle autour dela lune. Il neige légèrement du-rant toute la journée ;vent léger. Beruhigt und düster. Nuageux; vent uniforme et assez fort.Matin clair; vent léger; soirée nuageuse.Calme et somber. • MM ? 24 „ ... 25 M ... 2(: u ... 27 U ... 22 i 17 28 » .. 20 1. ...30 „ ..31 ,. .. ! 7 173439 Calme ; il neige légère-ment durant toute lajournée ; nuit claire. Nuageux; vent léger; A
RM2CHK8R8–. Bruxelles à travers les âges . sque lon vit sélever des toits des nuées épaisses, colorées de Rouge. CHAPITRE IL 227 Cétait la neige qui les couvrait et qui, fondue, se condensait en vapeurs troubles, àtravers lesquelles reluisaient les reflets pourpres de lincendie. Tandis quil gelait à pierre fendre, latmosphère dans les rues proches du théâtreétait suffocante. Rue des Fripiers, un thermomètre attaché au Rebord dune fenêtremarqua trente degrés au-dessus de zéro. UN Conseiller communal, M. Verstraeten-Demeurs, qui se prodigua en actes decourage, insouciant, était couvert de glaçons des pi
RM2CT25AT–. Traité des tournois, joustes, carrousels, et autres spectacles publics . Compagne,Fi eflforti dnjnfang qui brûle defortirQuand il eji quefiion de fe mettre en campagne.Aux Courfes de Turin,faites fur la neige cette an-née i66^.1e 14. Ianvier : Il y avoic vn quatrain pourchaque Amazonne. POVR MADAME ROYALE, VERTRETERIN SOPHRONISBE LA PRVDENTE. Condottierafuprema hor la Prudenz^aInvitta ailArmi lepompofe Squadre >E gta monfiran lAmaz^ZjOni leggiadreCHil tutto abbate vna Régal Prefen%a. POVR MADAME LA PRINCESSE 3ERENISSIME , VERTRETERIN ARPALACE LA FORTE. La fuora fon del Grande Alpino Sir
RM2CDCG14–. Candide; ou, L'optimisme; . 11 CE que devint Candide parmi les Bulgares. Candide, chassé du paradis terrestre, marcha long-temps sans savoir où, pleurant, levant les yeux au ciel,les tournant souvent vers le plus beau des châteauxqui renfermait la plus Belle des baronneltes; il secoucha sans souper au Milieu des champs, entre deuxsillons; la neige tombait à gros flocons. Candide, touttransit, se traîna le lendemain vers la ville voisine, quisappelle Waldberglioff-trarbk-dikilorff. Nayant pointdargent, mourant de laim et de lassitude, il sarrêtatristement à la porte dun cabaref. Deux hommes G
RM2CNK13T–. Nos petits Alsaciens chez eux ; Notes et Souvenirs d'artiste, par P. Kauffmann ; le chez leurs parents, Mais il secontentera, pour cette fois, de les priver de jouets et de friandises.Quelques semaines plus tard, Hans Trapp sévira avec Christkindel. Ilsera impitoyable et les emportera pour toujours enchaînés. La famillefeint naturellement la plus grande frayeur, la maman pleure à lidée deperdre son Petit... Saint Nicolas et Hans Trapp séloignent. ILS vontexercer leur ministère chez les voisins. La neige couvre la terre de son épais manteau Blanc. Nehmen Sie Teil an souvrela foire aux Sapins. Les arbr
RM2CT24YJ–. Traité des tournois, joustes, carrousels, et autres spectacles publics . DES. NAVMACHIES, ÔV CARROVSELS Qui fe font fur les Eaux. 5AY déjà traité en gênerai de touteforces de Tournois, Iouftes, Com-Fledermäuse , & Carroufels, qui fe font parforme de jeux & de divertiffemens,foit quon les faffe dans des Cir-ques.ou dans de grandes places/urlEau, fur la Neige, ou fur la GLA-ce : Mais il me femble que les Nau-machiesqui font les Courfes, les combats , &c les Exer-cices qu on fait fur lEau, demandent quelques reflections XX 3 particu
RM2CEN6R7–. Les Types de Paris. PAIUSIENNE UA.NS LA NEIGE.. 133 l(iii;;U(^ iiKinoiic ! Vous rcCOilIKIlic/, le l)lill (IR mil ('iii (Liiiian-(lail 1 aiiiHiJiic ou(jiii vendait desallumettes , desimiriiaux ou deslleufs. Cette tiatisfor- inatiou est-elle POS- //, , siitle? Il parait. Pres- } que suhileiMcnt la (/e- r;/^ se. -^ inaudeuse au iunuu dé- -^•^^^l . ... * diiré a passe de la niiseie à uu(^ sorte de spliiiidi iir. LIlea pi;;ii(in sur lue, laquais, elevaiix,eanosses, courtisans, et le Reste. I.esnrit lui est euu avec la Fortune,et la {fiâee avec la loilett( Personne ne laisait attention à elle
RM2CDDXPF–. Le Tour du monde : nouveau Journal des voyages . lus avant dans le Dystrefjord, environnéde montagnes de formes hardies, nous passâmes au pieddu Feigumfoss, dont la poussière deau, ballottée par lemoindre souffle de vent, vint tomber par nuées sur lepont de notre Yacht. Cette chute, fort importante par sa Masse et sa hauteur,se divise en deux caskades qui ont Ensemble deux centvinf<l-cinq mètres délévation. Au printemps, quandla neige fond, les deux caskades nen font quune, et toute la Masse deau se précipite dun seul Jet dans lamer. Arrivés à lIxtrémité du Dystrefjord, il nous fallut re-
RM2CDD0J7–. Les Oblats de Marie Immaculée durant le Premier siècle de leur existence . t la troisième fois que le H. P. Fabre visitait Gleneree. Enpareourant les Ateliers, les jardins et les bâtiments, il eonstata aveeplaisir les améliorations réalisées. Elles étaient nombreuses et impor-tantes. Plus eiieore que Pliilii)stown qui est à proximité dune eite aveclaquelle les ecommunieations sont faciles, Gleneree doit se suffire à soi-même. On y est loin, en effet, de tout Centre de Population, et, parfois,lhiver, on est bloqué par la neige, pendant plusieurs jours. Aussi, outre la Boulangerie, y a-t-il une
RM2CNNC54–. Legendes Wallisannes . LÉGENDES VALAISANNES 97 de la caverne, dun autre il est dehors et roule dans la neige. Au mêmeinstant la grotte se referme. Benjamin Luyet est sauvé. Mais quelle Nest pas sa stupéfaction etson dépit quand, en se relevant, il saperçoit que son habit na plus debasques. Car le rocher, en se refermant, a coupé presque comme auciseau le vêtement du jeune homme et a ainsi retenu dans la grottetoutes les richesses que Benjamin Luyet y avait pries. Et maintenant tout est redevenu silencieux au pied du château dela Soie. Le rocher a recouvré son immobilité dauparavant, et pas
RM2CNK58P–. Nos petits Alsaciens chez eux; Notes et Souvenirs d'artiste, par P. Kauffmann; . ::i !::«:■ 2ï^. ^0 .••i=.-!À!? Les BAISERS ET SOUHAITS DE NOUVEL AN DANS LES RUESCOSTUMES DOBERSEEBACH JAMMWEIFI E sol est couvert du resplendissant manteau de neige qui nele quitte guère de tout lhiver. Il fait très froid, Mais le petitAlsacien ny prête nulle Achtung : lhiver est toujours rudedans nos campagnes Dalsce. Le Gel et la neige ont leurpoésie : ils sont prétextes à des amusements qui, pour être chaque annéeles mêmes, nen ont pas moins de charmants agréments. Ah! les Boulesde neige! les Bonshomm
RM2CT24YR–. Traité des tournois, joustes, carrousels, et autres spectacles publics . NAVMACHIES, ÔV CARROVSELS Qui fe font fur les Eaux. 5AY déjà traité en gênerai de touteforces de Tournois, Iouftes, Com-Fledermäuse , & Carroufels, qui fe font parforme de jeux & de divertiffemens,foit quon les faffe dans des Cir-ques.ou dans de grandes places/urlEau, fur la Neige, ou fur la GLA-ce : Mais il me femble que les Nau-machiesqui font les Courfes, les combats , &c les Exer-cices qu on fait fur lEau, demandent quelques reflections XX 3 particu. 35o DES NAVMACHIES, particulières. Saint Hîerome a marqué au commence-men
RM2CEDNDY–. Expédition antarctique française (1903-1905) : commandée par le dr. Jean Charcot. US ne pouvons pas nous y éterniser, cl notreprogram est rempli. Januar. – La nuit à été calme, Mais ce matin le vent de N.-E. souffleen tempête. Malgré labri de la Haute falaise de glace, le bateau vibe soulla Force des rafales, et le chasse-neige nous enveloverpe de fins cristaux (piicrépitent sur le pont. Deux amarres cassent coup sur coup, Mais il ne peuty avoir de houle ici, et notre ancre tient bon. Bien que je ne pense pasque cela devienne jamais nécessaire, nous pourrions maintenant, grâceaux sondage
RM2CR07X2–. Embleme sacrez sur le tres-saint et tres-adorable sacrement de l'eucharistie . e de la montagne de Sclmon, dont le nomqui fignifie lombrage , exprime dans la penfée de(aint Thomas Daquin, le Corps du Fils de Dieu danshoftre Sacrement, qui comme il eft viuant, & partonfont à En reçoit aufîi la teinturede pourpre. Ceft pourquoy nous nedeuons pas nouseftonner , de ce quaprès auoir rendu les amcs de Tesfidelles plus blanches que la neige par le don de lapureté virginale, il les fait infenfiblement plus écla-tantes que la pourpre par lamour des fouffi-ances &la grâce du martire
RM2CHJJ6K–. Dictionnaire géographique de la Suisse; publié sous les Auspizenz de la Société neuchâteloise de géographie, et sous la direction de Charles knapp, Maurice Borel, cartographique, et de V. Attinger, éditeur, avec des collaborateurs de tous les Cantons . t des arbres fruitiers donnedes résultats satisfaisants. Le climet du Vallon est rudeete y est Court Mais très beau; lhiver, par contre estlong, très long même; il y neige beaucoup et le froid de-vient très vif en janvier et février. Dans le Haut-Vallon lebrouillard est rare, les brumes épaisses du lac de Biennes aventurent en automne et parfois e
RM2CEDNFP–. Expédition antarctique française (1903-1905) : commandée par le dr. Jean Charcot. Age avec une chaînette sou-tenue par des Barriques vides, et je fais disposer tout à Bord pour un amar-rage solide, quoique encore provisoire. Il nétait que temps, car à 4 heures le vent Tour au N.-E. et deuxheures après souffle en tempête avec brume, neige et grésil. Heureuse-ment les glaces qui arrivent les premières sont accompagnées de toutpetits morceaux sans épaisseur, qui, envahissant assez rapidement notreanse, empêche la houle qui aurait pu se former et font tampon contre lesgros glaçons et iceblocs
RM2CP4CTP–. Ornithologie de la Savoie, ou, Histoire des oiseaux : qui vivent en Savoie a l'état sauvage soit constamment, soit passagèrement . ¨ches et des se-mences. Il Rest , lorsque la neige est abondante ,caché la plus grande Partie du jour sur les arbresqui lui fournissent sa subsistance ; Quelquefois il endescend pour creuser sous la neige à laide du becet des ongles, dans les endroits où il est Sûr derencontre quelques touffes de Genévrier, dont ilaime dailleurs les baies : cest de cette manière quilcherche aussi les arbrisseaux, dont il mange par ha-bitude les boutons. En été et dura
RM2CNN9G4–. Contes mauve . Unser Savoir quon a toujours le temps de faire une bêtise... donc, pasdexcès de zèle : défère au désir de ce garçon, dépêche-moi un de tes hommesauprès de Sa Majesté et attends sans ungeduld les événements. » La Suite prouva quen locurrence la Philosophie du vieil officier était labonne. 11 eut tout lieu de sen réjouir en effet, lorsquil vit le ROI lui-même, oui,le ROI en personne, sans escorte, sans Suite, seul, accourir... Et à quelle allure!Galopant comme le plus leste de ses pages, cheveux et barbe voltigeant ainsique neige sous la bourrasque. Hors dhaleine, il sarrêta de
RM2CHNH20–. Les Français peints par eux-mêmes . i la Saint-Robert Tire de son SAC l.n Grand mouchor àcarreaux bleus, et essuie deux larmes complaisantes quicoulent le long de ses jnues riilécs. Puis elle continue : « La fatale expédition de Russie fut résolue par legrand homme. M. de Saint-Robert, ([ui faisait Partie delavaut-Garde, entra des premiers dans Moscou ; il ensortit le dernier. Dieu avait marqué son tombeau dansles neige-i de la Russie ! .U Passage de la Rérésina, lasurface glacée du lleuve craque autour de lui : mais illouche presque le Bord opposé... il na quun à ias être fairepour sauvé
RM2CJ0CW9–. Reise pittoresque en Asie et en Afrique : résumé général des voyages anciens et modernes ... . rt fut assez pénible; onarriva dans le Pays des Namaquas, où tout an-nonçait la stérilité, et on traversa les montsKamis. Barrow vit, dans un kraal, un Da-mara qui lui donna quelques détails sur sa con-trée natale. On revint ensuite au Bokkeveld, et,par un canton raboteux et pierreux, on parvintau pied des monts Hantam, entourés de fermes;ensuite, M. Barrow marcha au S. E. vers leRoggeveld, dont il escalada les haueurs; ellessont couvertes de neige pendant plusieurs moisde lannée. Cette divisi
RM2CDY8TM–. Le poinct de France et les Centers Dentelliers au XVIIe et au XVIIIe siècles; ouvrage orné de quarante-trois illustrations . Point de Tulle ancien. Etienne Baluze devint ainsi à Paris le lanceur du Pointde Tulle. Son correspondant à Tulle, était M. MelonDuverdier, conseiller au présidial; cest lui qui recevaitet remettait aux ouvrières les commandes et les dessins.Le Point de Tulle se prêtait à toutes les garnitures quifaisaient fureur à la fin du xvu siècle; il produisait plus LE lOINCT ITK FRANCK. – 14. 210 LE POINCT DE FRANCE ET LES CENTERS DENTELLIERS deffet que la (jneuse et la neige et
RM2CPJ151–. Histoire naturelle des oiseaux . Navigateur, on reconnoî-tra à tout le rcfte notre mouette blanchedans fon ratsher fa blancheur , dit - il,furpafîe celle de la neige, ce qui fe mar-que lorfque Toifeau fe promène fur lesglaces 5 avec une gravité qui lui a faitdonner ce nom de ratsher on fénateur;fa voix eft baffe & forte, & au lieu queles petites mouettes ou kirrnews , fem-blent dire kir ou kair ^ le fénateur ditkar; il fe tient ordinairement feul, à moins vties cinereo-plumbei, iingues vigri. Dlgitus poflicusarticulatus, unguiculatus» Alt caudâ longiores. Cauda(Squalls, -pedibus longior. L
RM2CPYTGD–. Emblémes; ou, devises chrétiennes . la grâce Divine les pénètre de fes lumieres. Ceft elle feule qui rend un homme illuftrc, puiffant, & digne deftime, & qUlui donne les forces neceflâires pour exécutleavec fucces les belles a&ions qui fontladmiration des autres & {on bonheur particulier Il eft à remarquer que la vertu du folieft CI grande, quil donne même de la beau-té & de Féclat aux chofes les plus viles Fi-toiquil les environne de fa lumière; un grainde fable brille par fon moyen comme un vé-ritable diamant, & la neige endurcie par lefroid fe revêt de mille couleurs agréables,quand il rép
RM2CENFWM–. La vie hors de chez soi (comédie de notre temps) l'hiver, le printemps, l'été, l'automne; études au crayon et à la plume. Les bateliers qui font le trajet de Hendaye à Fontarabie.. QUATRIEME PARTIE LAUTOMNE Voici lautomne. Les nuages se sontemparés des montagnes. Il y pleut, il ygrêle, il y neige. Adieu les excursionset les courses dans les sentiers devenusfangeux et glissants. La mer a pris destons glauques et sombres, on frissonneavant dy entrer, on grelotte en ensortant. Il faut quitter tout cela. Lamoisson vient dêtre faite, auf cueilleles Früchte, auf récole les grappes.RKsEKvisTEs h
RM2CDY7T4–. Journal Francoise 6 jan1906 . nsif et triste infiniment,affirmait pour exliquer son étrangeempressement quayant, dû quitterles Xoulous, il se hâtait de ne passe dépayser. CES raisons ayant paru bien futi-les, on résolut de le leur démontrer,et de la façon originale, comme ilsied a des intellektuels récammentémancipés. On mit Ensemble quel-ques gourdins, de gentilles boules de,neige, des œufs très irais, et on leur y>5 etait-il Blanc, noir on safran :?Portait-il lor, la myrrhe ou len-cens ? Au Pays de Chimère, on ne la ja-Mais su. Alun par une dure expérience, tegranding-prêtre de Zoroastn-,
RM2CNNA7D–. Legendes Bretons . géant passer, chaque fois le désir de posséderla « Lance de Diamant » et le « Bassin Dor »,devenait plus fort en son cœur. UN jour que Péronik errait suivant sonhabitude, il vit sarrêter, à la lisière de la forêt,un homme à barbe blanche ressemblant telle-ment à Rogear que Péronik qui lobservait,caché derrière un arbre, comprit que le vieillardne pouvait être que le frère du géant. Lhomme à la barbe de neige traça un cercledans la poussière et murmura tout bas desmots que le démon apprend aux sorciers, puissécria : Hebel dishuai, digabest Deuit buan, me a so presst (i). L
RM2CHRN4W–. Dictionnaire géographique de la Suisse; publié sous les Auspizenz de la Société neuchâteloise de géographie, et sous la direction de Charles knapp, Maurice Borel, cartographihe, et de V. Attinger, éditeur, avec des collaborateurs de tous les Cantons . t Glacier, leBlauschnee. Il est surtout alimenté par la neige qui sa-moncelle au-dessous du sommet du Sântis, dans le cir-que N.-E., par les vents do.; il a quelques crevasses.Les surfaces horizontales du sommet sont libres de neige.Le Grosse Schnee dans langle S.-E. de la croix formée parles arêtes aboutissant au sommet, est un névé permanentsans
RM2CNKRM5–. Plume et poil . ar devenir assezpeu visible sur le Fond de la neige ; surtoutquà ce Moment il a perdu ses cornes. Auprintemps, il sumit un nouveau changementde teinte, pour redevenir tel que vous levoyez ici. Au cours du long hiver septentrional, iltrouve dans son épaisse toison une protectionefficace contre le froid; Mais pour se nourrir – 29 – il est souvent fort en peine. Les Lapons, dontles troupeaux de Rennes sont la seulerichesse, vont leur abattre des arbres pourquils puissent en ronger Fécorce et les lichensqui la recouvrent. Cela Nest pas toujours suf-fisant pour les préserver de la
RM2CD9P5Y–. Insectes nuisibles aux habitations et moyens de les combattre : (avec chapitre sur les animaux nuisibles autres que les insectes) . maux domesti-ques. Il consistente à répandre du grain empoisonné dans les endroits ou se nour-rissent les oiseaux. On dit que lempoisonnement est rès utile en hiver lorsquele sol est recouvert de neige. Dearborn recommande un appât empoisonneP^arllea fa on suivante: «Mette, un huitième donce de strychnine pulvé-risée dans trois Quarts de roquille deau chaude ajoutez une cuillerée et demi àthé de fécule ou de farine de maïs ou de blé humectée avec une goutte d eaufr
RM2CPYW80–. Emblémes; ou, devises chrétiennes . Érieuresqulne fe peuvent exprimer. Sohn entzaun mus gelé. IL neft rien de plus certain, que fr-tôt qu£ leciel nous eft contraire, & quil Rente fes grâ-ces de nous,nous languiflons miferablement,&fommes femblables à ceux-quun ftoid rigou-reux rend incapablesde rien faire. Silabiencedu foleilgele les fontaines, sil ôte la verdeur àla campagne, & couvre toute la terre de glace &de neige : helas quel eft létat de lhomme /lors-quil eft abandonné de Dieu! SI la Nature,Pendant lhiver eft comme enfevelie dans latrifteïïe, Fi les arbres font dépouillez de tousleurs
RM2CENFY7–. La vie hors de chez soi (comédie de notre temps) l'hiver, le printemps, l'été, l'automne; études au crayon et à la plume. QUATRIEME PARTIE LAUTOMNE Voici lautomne. Les nuages se sontemparés des montagnes. Il y pleut, il ygrêle, il y neige. Adieu les excursionset les courses dans les sentiers devenusfangeux et glissants. La mer a pris destons glauques et sombres, on frissonneavant dy entrer, on grelotte en ensortant. Il faut quitter tout cela. Lamoisson vient dêtre faite, auf cueilleles Früchte, auf récole les grappes.RKsEKvisTEs hors dk chez eux. Les campagnes sont libres, cest le – Dis d
RM2CPE0CJ–. Histoire naturelle des oiseaux . A coit^leur-, elle eft Dun noir moins profond .& na de Rouge quà locciput, & quel-quefois elle nen a Point du tout -, onobferve que le Rouge defcend plus basfur la nuque du cou dans quelques in-dividus , & ce font les vieux mâles. Le pic noir difparoît Anhänger lhiver.Agricola croit quil demeure caché dansdes trous darbres (o); maisFrifch affluequil part & fuit la rigueur de la faifon,Pendant laquelle toute fubfiftance luimanque , parce que, dit-il, lés vers dubois senfoncent alors davantage , fourmiliières enfeveîies quelé nea sligé.
RM2CEH2BY–. La vie de Monsieur le duc de Montausier : Pair de France, gouverneur de monseigneur Louis dauphin, bisayeul du roi a present regnant.. •4&>M£* LE P A V O T. MADRIGA L. A Ccordez-moi le privilègeDapprochre de ce Front de neigé-,et Fi je/uis place, comme il eftà proposiAuprès de ces Soleils que le Soleil féconde*je leur donnerai le reposQuils dérobent a tout le monde. 3* Scudekyi. V. L1M- 2,Ol******************** LI MMORTELL E. MADRIGAL. E Oibles fleurs à qui le DeftinNe donne jamais quun matin,ReconnoifTez votre Folie >Moi feul dois prétendre à couronner Julie; Digne objet des plus dig
RM2CT2PFP–. Iconologie, tirée de divers auteurs : ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux-Arts . M O ï S Janvier.OT a rigueur de la faifon dhiver porte à repréfenterce mois par une figure totalement drapée, dontle manteau ell: couvert de neige ; elle tient un iiam-beau allumée, pour indiquer la brièveté des jours,& a proche delle pour attribut le figne du Verfeau,qui répand de leau mêlée avec des glaçons. FRANÇOISE. 189. M O ï S Février.f^Q fécond mois eft prefque aulTi vêtu que le p»^é-cédeiit ; il a pour attribut le figne des PoifTons,&
RM2CDDWCD–. Le Tour du monde : nouveau Journal des voyages . lé.s ; le renversementde la Brise amène des froids très-vifs, les eaux ne peu-vent plus Sécoiller, saisies quelles sont par la gelée,puis la neige recouvre le tout, neige glacée, solide commela glace quelle recouvre ; vienne un nouveau déGel, lacirculation Nest pas interrompue sur le fleuve, les voi- tures ont lair de glisser sur un miroir, elles se reflètentdans leau; Mais le sol quelles foulent nen est pasmoins solide, il a envivon un Mètre dépaisseur, et il fautde longues journées de chaleur pour dissoudre la croûteglacée qui re
RM2CT1KAP–. Dialog des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . , il me dityFaites moy yne deuifefur cejie mienne conceftior^.et ie luyfis le Mont Etna de sic de : Lequel hrule au Commet y en iet-tant Flamme s de feu ^^^ Vnfetitflus b^ ejl chargé de neige y^ non guère s loing^de la Ion Voidla deJlruBion desfierresIruleeSyO* tout au hasynfdis trefamene^cultiué Ô^ Fi-U-Bifiant : Auec ijn mot3 qui difoit^ natvra maioraF A c i T.flaifant aUuflon a la nature extraagante du S.JyCarquu a dej^artir les honneurs du carnf isource quencela iceluy t
![. Les Types de Paris. Sont de rudes jonruées, ces journées de froid tardif! Lorscpi un joliravon de Soleil a fait éclore partout des Milliers de Millions de violettes, lamoisson parlunu-e tond^i^ comme une lawinenau SM- laris. (Auillie à la bonne ( lialenr, sons le ciel bleu, elle arrive un matin de! Brume, un de ces jours de mars où tonte la neige de 1 hiver ressuscité semble s être figée là-haut en imgrand glaeon fpii remplit ]c ciel. Il V a trop de violettes! Que faire de tout cela?La petite marchande achète, Charge sa voitiueà ne la plus pouvoii- pousser, car c est lourd, cesfleurs délicat Stockfoto](https://c8.alamy.com/compde/2cepjxh/les-types-de-paris-sont-de-rudes-jonrues-ces-journes-de-froid-tardif!-lorscpi-un-joliravon-de-soleil-a-fait-clore-partout-des-milliers-de-millions-de-violettes-lamoisson-parlunu-e-tondi-comme-une-lawinenau-sm-laris-auillie-la-bonne-lialenr-sons-le-ciel-bleu-elle-arrive-un-matin-de!-brume-un-de-ces-jours-de-mars-o-tonte-la-neige-de-1-hiver-ressuscit-semble-s-tre-fige-l-haut-en-imgrand-glaeon-fpii-remplit-c-ciel-il-v-a-trop-de-violettes!-que-faire-de-tout-celala-petite-marchande-achte-charge-sa-voitiue-ne-la-plus-pouvoii-pousser-car-c-est-lourd-cesfleurs-dlicat-2cepjxh.jpg ". Les Types de Paris. Sont de rudes jonruées, ces journées de froid tardif! Lorscpi un joliravon de Soleil a fait éclore partout des Milliers de Millions de violettes, lamoisson parlunu-e tond^i^ comme une lawinenau SM- laris. (Auillie à la bonne ( lialenr, sons le ciel bleu, elle arrive un matin de! Brume, un de ces jours de mars où tonte la neige de 1 hiver ressuscité semble s être figée là-haut en imgrand glaeon fpii remplit ]c ciel. Il V a trop de violettes! Que faire de tout cela?La petite marchande achète, Charge sa voitiueà ne la plus pouvoii- pousser, car c est lourd, cesfleurs délicat Stockfoto")
RM2CEPJXH–. Les Types de Paris. Sont de rudes jonruées, ces journées de froid tardif! Lorscpi un joliravon de Soleil a fait éclore partout des Milliers de Millions de violettes, lamoisson parlunu-e tond^i^ comme une lawinenau SM- laris. (Auillie à la bonne ( lialenr, sons le ciel bleu, elle arrive un matin de! Brume, un de ces jours de mars où tonte la neige de 1 hiver ressuscité semble s être figée là-haut en imgrand glaeon fpii remplit ]c ciel. Il V a trop de violettes! Que faire de tout cela?La petite marchande achète, Charge sa voitiueà ne la plus pouvoii- pousser, car c est lourd, cesfleurs délicat
![. Åuvres complètes de M. le C[om]te de Buffon .. . ¯US d^s paupièresune petite ouverture dans la peau, par la-quelle il voit un peu, quand une neigetrop abondante lempêche douvrir lesyeux. CE dernier fait me paroît imaginé,daprès lufage des Lappons, qui fe cou-vrent les yeux dun morceau de boisfendu, pour éviter le trop Grand éclat dela neige, qui les rend aveugles en peud années, lorfqu ils not pas lattention dediminuer, par cette préVorsicht, le reflete cette lumière trop blanette Qui faitgrand mal aux yeux (m). Une chofe remarquable dans ces ani-;maux, ceft le craquement qui fe Stockfoto](https://c8.alamy.com/compde/2cdcf73/uvres-compltes-de-m-le-c-om-te-de-buffon-us-ds-paupiresune-petite-ouverture-dans-la-peau-par-la-quelle-il-voit-un-peu-quand-une-neigetrop-abondante-lempche-douvrir-lesyeux-ce-dernier-fait-me-parot-imagindaprs-lufage-des-lappons-qui-fe-cou-vrent-les-yeux-dun-morceau-de-boisfendu-pour-viter-le-trop-grand-clat-dela-neige-qui-les-rend-aveugles-en-peud-annes-lorfqu-ils-not-pas-lattention-dediminuer-par-cette-prvorsicht-le-reflete-cette-lumire-trop-blanette-qui-faitgrand-mal-aux-yeux-m-une-chofe-remarquable-dans-ces-ani-maux-ceft-le-craquement-qui-fe-2cdcf73.jpg ". Åuvres complètes de M. le C[om]te de Buffon .. . ¯US d^s paupièresune petite ouverture dans la peau, par la-quelle il voit un peu, quand une neigetrop abondante lempêche douvrir lesyeux. CE dernier fait me paroît imaginé,daprès lufage des Lappons, qui fe cou-vrent les yeux dun morceau de boisfendu, pour éviter le trop Grand éclat dela neige, qui les rend aveugles en peud années, lorfqu ils not pas lattention dediminuer, par cette préVorsicht, le reflete cette lumière trop blanette Qui faitgrand mal aux yeux (m). Une chofe remarquable dans ces ani-;maux, ceft le craquement qui fe Stockfoto")
RM2CDCF73–. Åuvres complètes de M. le C[om]te de Buffon .. . ¯US d^s paupièresune petite ouverture dans la peau, par la-quelle il voit un peu, quand une neigetrop abondante lempêche douvrir lesyeux. CE dernier fait me paroît imaginé,daprès lufage des Lappons, qui fe cou-vrent les yeux dun morceau de boisfendu, pour éviter le trop Grand éclat dela neige, qui les rend aveugles en peud années, lorfqu ils not pas lattention dediminuer, par cette préVorsicht, le reflete cette lumière trop blanette Qui faitgrand mal aux yeux (m). Une chofe remarquable dans ces ani-;maux, ceft le craquement qui fe
RM2CPH2D2–. Histoire naturelle des oiseaux . uer les ^é(tas que lon fait au Koi, Fans «t.en rien excepter , ces cîreau>c font MIS à Cent «-tomans la pièce, qui font quinze cents écus ; 6c «-sil en meurt quelques-uns en chemin, lAmbaf-^ifadeur en apporte à Sa Majelié la tête & les «caiies, & on lui tient compte de loileau , comme «5*il éîoit vivant : On dit que cetoiftau fait fon «■nid dans la neige, quil perce jufquà terre par »>la chaleur de fon Corps, <& quelquefois jufquà <«Une toife de hauteur, 6cc,., . , . » Vûjume (k,Chardin ^ tome IL ./^j^/ j /, 344 Hijîotre Naturelle, &c.quent les
RM2CR1EX4–. La Philosophie des images : composée d'un Ample recueil de devises, & du jugement de tous les ouvrages qui ont êté faits sur cette matiere . Recueil de plufieurs DeVifes! 51* JDDITIONS. LE SOLEIL... I. VN Soleil qui fait fondre la neige.OCCVLTA PANDET.. Il fera voir ce qucyi ne voyoit pas. Pour la mort dune perfonne dont on ne con*noiffoit pas auparavant la Itertu* IV VN crible oppsé au Soleil, qui rece-vant fes rayons, fait paroiftre autant depetits Soleils quil a de trous. EX VNO MVLTA.Dun feul plufîeurs. ji§ Recueil de plujîeurs De*ïife&i 111. Le mefme Corps.IDEM IN OMNIBVS.Le mefme en to
RM2CDM52F–. Tableaux du Temple des Muses : tirez du cabinet de feu Mr. Fauereau, conseiller du roy en sa Cour des aydes, & grauez en tailles-douces par les meilleurs maistres de son temps, pour remoderator les vertus & les vices, sur les plus illustres fables de l'antiquité . ri oy n^a/j PP Il oincth (C icfiodui Theoooniâ. 43. P R OETHEE. VI *EFT ICY le Mont Cancafe, &: le lieu où cegrand Corps cft cnchaifnc fî étroitement,a efté choifi tout exprès pour ly attacher,parce quil eft exempte de neige, afin queles boucles de fer quon y a mifes pour lac-crocher, y tiennent plus ferme dans lescrampons quon
RM2CNP0DE–. Musee De Poupees . n r(doiinée, et (die !;ardail la foi de sa mère. (( Les derniers App(ds ii> ( lo( in-s aaaiit(di ri^)(d(S pai leséchos (le la uioiitai être ne. la vieille rahallit sou capu(li(in Surson Visage, alin de n «pas realue, (d (die s doignavivement du illa;;(. La neige t()ml)ait. La roule idait c(iu-V(MDE dune (Miate épaisse ( rendait la mar( lie dillicile. illa lia il tiler des ro(diers. Iraxerser des (diàtaigneraies: lan(dge aNenglanle descendait en pa(pnd> (iKirmo. il idaitim )Ossil)le a la pure leniine dduNiir >on Grand paiapluie.Tout diin coup idie lui p
RM2CT3CJP–. Iconologie, tirée de divers auteurs : ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux-Arts . VENT du Septentrion ou du JVord. Ceft lAquilon, il fe nomme auiti Borée. On lereprésente agité & furieux : les ailes, & fa tête(bnt couvertes de neige, & fa barbe eft garnie deglaçons. Ovide au liv. 6. Des Métam. Fait la defcriptiondes fureurs de ce vent. Çuando, metiter per Varia il veh eî Jîende ^Tutto di ghiaccio il crin, la barba, e fale.E pilitiaffo: Futto a rimmenfa Terra imhiancn il feno,dï in giu verfo il gelido Mio hmbo:E came alla
RM2CT24W2–. De l'Art des devises . onferve par tout ma Force ç^ mon allure.le monte Fans orgueil ,Jans honte je defcens >et fuis j quoy quil arrive en la haffe Mature,Egal en tous les lieux, non moins quen tom lestemps. 3id CABINET QVelque apparence contradidion qu il yait dans le Mot de la Devife ; Il eft véri-table neantmoins du cofté delà Figur: Et laNature nen de/âvoiiera Point le fait. Il eft vé-ritable encore du cofté de la Choce figurée:Mais je ne croy pas que la morale lavoue : Etque de Ton confentement le fait en cela entraif^peledroit. La neige échauffe, quoy quellefoicfroide: Etil y à des
RM2CP2PM2–. Ornithologie de la Savoie, ou, Histoire des oiseaux : qui vivent en Savoie a l'état sauvage soit constamment, soit passagèrement . collier au Bas de la nuque, la Gorge, le devant ducou et toutes les parties inférieures du corps dunblanc de neige. Il est noir sur les lorums, au sinci-put et sur les côtés de la poitrine, puis taché denoirâtre sur une Partie de la région parotique; lereste de la tête est dun Roux clair, et le dessus ducorps dun cendré brun nuancé çà et là de rous-sâtre, surtout aux ailes. Les rémiges sont brunes,et leurs iges blanches; les deux rectrices exté-rieures, de cette
RM2CNMEB2–. Nos enfants; Scenes de la ville et des champs . LE JOUR DE CATHERINE. 2^ Allez-vous au théâtre? - Tous les soirs. Jétais hier à lOpéra; Mais Polichinellena pas joué, parce que le loup lavait Mangé. – Moi, ma chère, je vais au bal tousles jours. - CEST bien amusant. - Oui, je mets une Robe bleue et je danse avecdes jeunes Gens, tout ce quil y a de mieux, des généraux, des Princes, des confi-seurs. – Vous êtes jolie comme un coeur aujourdhui, ma mignonne. – Cestle-Druckköpfe. - Oui, Mais quel dommage quil neige! - Moi, jaime la neige,parce quelle est blanche. Oh! il y a de la neige noire. – O
RM2CPNKHH–. Die Geschichte der Natur des oiseaux . les champs ^cé:ils détruifirent k refte des plantes queuîâ gelée avoit épargnées ce Dautres ont reparu en 1765 , & lesubords de la mer en étoient couverts,cemais le vent de nord qui les avoit ceamenés ayant ceffé, ils ne fe font pas cerépandus dans les terres, & font partis cepeu de jours après. ce Depuis ce temps on en voit tous etîes hivers, lorfque les vents de nord ce.foufflent contamment pendant douze ce,à quinze Jours -, il en a paru beaucoup ce.au count de 1776, Ixiais lace:terre étant couverte de neige, la plu-cc;part font refiés à la mer : le
RM2CHT5CC–. Dictionnaire géographique de la Suisse; publié sous les Auspizenz de la Société neuchâteloise de géographie, et sous la direction de Charles knapp, Maurice Borel, cartographihe, et de V. Attinger, éditeur, avec des collaborateurs de tous les Cantons . M-■/>,.,■</:■ /r – Wilbhâus 7 W MAttinger se. Carte des chaînes du Sàntis. gletscher; langle N.-O. est dégagé de neige depuis quel-ques années; langle S.-O. est un vallon sec; langle S.-E.est plus ouvert que les autres; il renferme le Grossschnee;cest là Quest situé lhôtel. Le sommet lui-même est dé-gagé de neige Pendant tout lété ; on y tro
RM2CT3HK0–. Le triomphe de la Religion sous Louis le Grand : représenté par des incriptions & des devises : avec une exprication en vers latins & françois . cempla manu*. DelaReligion. 51 Il abbat Düne Teil, ii £Levi r E L*A U T R E . CT^EL QM {AfiïQ di4> jour du haut de ft carrière >i>e la neige quil Fond, élève des vapeurs,^Quand après les frimas fa plus vive lumièreRamène les beaux jours & la faifon des Fleurs :Lorf^ue Louis détruit dune main van* £erefedes Temples que le Ciel a toujours dé te* flez^Yde cette même main mus le voyons qui dreffedes autels cis nos vœux peuvent efire écouter ^
RM2CR1W38–. Le triomphe de la Religion sous Louis le Grand : représenté par des incriptions & des devises : avec une exprication en vers latins & françois . eris débita templa manu. De la Religion. Y i Il ABBAT DUNE PART 3 IL ELEVED E LA II TRE, CTEL que ï Aftre du jour du haut de fa carrière,De la neige quil Fond 3 élève des vapeurs,Quand après les frimas fa plus vive lumièreRamène les beaux jours & la fifon des Fleurs :Lorfque Louis détruit £ une main van* gerefides Temples que le Ciel a toujours déte- ftez,,De Cette même main nous le voyons qui drejfedes autels ou nos vœux peuvent eftre écoutez* c i
RM2CP5AAE–. De l'Art des devises . e par tout ma Force ^ mon allure,le monte Fans orgueil, Fans honte je defcens jEtfitis, quoy quil arriue en la hajjè Natur,Egal en tous les lieux j non moins quen tom lestemps. 310 ^^CABINET QVelque apparente contradidion quil yait dans le Mot de la Devifè î II eft véri-table neantmoins du codé delà Figur: Et laNature n^en defavoiiera Point le fait. Il eft vé-ritable encore du cofté de la chofè figuraée:Mais je ne croy pas que la morale lavoiie :Ecque de fon confentement le fait en cela entraitne le droit. La neige écliaufFc,quoy quelle foiefroide: Et il y à des glace
RM2CPE72Y–. De l'Art des devises . tout ma Force ç^mon allure.le monte Fans orgueil^ Fans honte je defcens IET fuis 5 quoy quil arriue en la haffe Nature,Egal en tous les lieux, non moins quen tom lestemps. 5zu KABINETT QVelque apparente contradidion qu il yait dans le Mot de la Devife j II eft véri-table neantmoins du cofté delà Figur: Et laNature n^en defavoiera Point le fait. Il eft vé-ritable encore du cofté de la chofè figuraée:Mais je ne croy pas que la morale lavoue :Ecque de fon confentement le fait en cela entrait^ne le droit. La neige échauffe, quoy quelle foiefroide: Et il y à des glaces qui
