. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . iuerfes tempérieures. Chacun tempenmfçait que ceux qui font priuez, font de tempérament plus humide que les fauua- ** à» J-ges.,tant pour ce quils viuent en sr plus humide, queftâts en repos vfent leur vie fe*uxfans trauail. Mais les fauuagcs, qui fe trauaillent plus, & hantent en face plus fec,font cômunement plus maigres.Ceft la raifon pourquoy ils fe gardent plus Long Pourquoytemps morts Fans fecorrompre.Parquoy faincl: Auguflin ne troua Fi eflrâge dà- /« oyfe-U
1570 x 1591 px | 26,6 x 26,9 cm | 10,5 x 10,6 inches | 150dpi
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. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . iuerfes températures. Chacun tempenmfçait que ceux qui font priuez, font de tempérament plus humide que les fauua- ** à» °J-ges, tant pour ce quils viuent en sr plus humide, queftâts en repos vfent leur vie fe*uxfans trauail. Mais les fauuagcs, qui fe trauaillent plus, & hantent en face plus fec, font cômunement plus maigres.Ceft la raifon pourquoy ils fe gardent plus long Pourquoytemps morts fans fecorrompre.Parquoy faincl: Auguflin ne trouua fi eflrâge dà- /« oyfe-uoir gardé delà chair dvnPaon rofty longue efpace de temps fans fe corrom- auxfauu*pre.La nourriture des oyfeaux fauuages eft moins excrementeuie, que celle quon £ mortsprend de ceux quon à nourry priuez.Mais à fin que nous puiftions continuer par f^J/meilleur ordre, àparler de lanournture quon dône au corps humain, en mageât f4„j omles oyfeaux, nous fuiuros celuy quauons défia tenu en leurs defcnptions, récitants pn.fuccintement ie temperamét d vn chacun, cômençants par les oyfeaux de proye. e iiii. 5<r LIVRE I. DE LA NATVRE Les oyfcaulx, defquelz Ion prend nourriturc, nommcz par ordrc, tant félonlancienne couftume, que moderne:& les faifons diceux. Chap. X X* Eluy qui naura eu moyen de fe trouuer es feftins publics, & re-pas des grands feigneurs de diuerfes contrées, aura peine den-tendre, cjuel iugcmét ils ont de chafque efpecc de gibbier, c6meaufsivn grand feigneur qui ne s eft trouué viurepar les petitestauernes, & cabarets entre les paifants, ne péfera quon y magede telle manière doyfeaux, &par ce ignorera comme ils les efti-ment.Cômençats donc à en parler par les oyfeaux de proye, & fçachâts quils fontde nature plus aèree, & plus agile q les autres, dirons quils font cômunemét mai-gres . Lon fçait pat lexpérience qui à efté faite en Crète, que les petits des Vaul-tours defnichez dvn rocher precipiteux entre Woulifmeni anciennement nomm