La Fille de Mon Ami de Lille, Louis-Pierre - Théophile Dubois de Nehaut, 1856

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Format:

3867 x 4757 px | 32,7 x 40,3 cm | 12,9 x 15,9 inches | 300dpi

Aufnahmedatum:

17. Mai 2017

Fotograf:

Artokoloro

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17,9 cm 1799-1872 1856 22.2 7 1/16 8 3/4 aktives belgien fotographien französischer gesalzener papierdruck image la fille la fille de mon ami lille louis-pierre-theophile dubois de nehaut louis-pierre-theophile dubois nehaut papier negativ

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RM2HHC97B–La fille de mon ami de Lille 1856 Louis-Pierre-Théophile Dubois de Nehaut Belgier. La fille de mon ami de Lille 287243

RM2CBA7KA–La fille de mon ami de Lille, 1856.

RM2AG8C2W–. La comédie humaine. äh en séraphin!... Enfin jaurai peut-être un Ami, je laurai payé cher; maislamitié, mesz Si Beau! Sechs Millionen, voilà le prix dun Ami: auf ne peut pas en avoir beaucoup à ce prix-là... La Brière entra dans le cabinet de Son ami sur ce-der-nier Punkt dexclamation. Il était triste. - Eh! Bien, quas-tu? Lui dit Canalis. - Le père Exige que sa fille soit mise à même de clioi - Sir entre les deux Canalis... - Pauvre Garçon, sécria Le poëte en Riant. Il est trèsspirituel, ce-Père-là. - Je suis in der Eröffnungsrede dhonneur à tamencr au Havre, ditpiteusement la Brière. MODESTE MIGNON. l6 l-Mo

RM2CNNC65–. Contes mauve . ? Quel malheur ma-t-elle préparé ? » Derrière les arbres, la chanson, sans cesse plus proche, smblait une répliqueaux angoisses de la jeune fille. Lair était vieillot, guilleret : 7 5o CONTES MAUVES DE MA MÈRE-GRAND. « Au Rendez-vous, le lendemain,Mon bel ami ne vint... Qui me rendra, Landerette,Mon ami que jadore? Qui me dira, Landerirette,Si dois lattendre encore? Landerirette, Landerira. n et la mégère déboucha dans la clairière, lançant à plein gosier ses dernièresroulades. – Ah, ah, te voici, Belle esseulée, se moqua-t-elle. J

RM2CNR33T–. Le General Dourakine; . du tout, mon général, parceque vous nexécuterez ce projet que lorsque vousaurez vendu Gromiline et que vous serez convenudu jour de la pry de possession du nouveau pro-priétaire, qui arrivera quelques jours après votredépart. - Bien, très-bien, sécria le général en se frot-tant les mains, les yeux brillants de joie. Bonnevageance! Jirai mourir en France, comme jenavais le désir; je vous ramène chez vous, moncher ami, jassure la Fortune de ma fille, et jevous laisse tous heureux et contents.dérigny, riant. Et le pauvre Prince que vous oubliez, mon gé-néral? LE GÉNÉ

RM2CNKP48–. A B C, . Aussitôt M Escargot, tout attendrie, dit à son mari :« Si nous ladoptions? – Jallais te le proposer, » répondit M. Escargot. Et il sortit presque entièrement de sa maison pourembrasser son nouveau fils. En peu de temps, le Petit escargot devint gros, graset luisant. Alors la mère Escargot dit au père Escargot : « Mon ami, il faut marier notre fils. Il faut luichercher une jolie fille de notre monde, afin que nousayons de beaux petits-enfants. - Jallais te le proposer, répondit le mari. Mais àqui nous adresser pour cela? – De mon balcon vert, dit M Escargot, je vois lepeuple des Four

RM2CNPJJF–. Les vacances . mbrassa et remerciaMme de Fleurville, M. et Mme de Rosbourg, et senalla en sautant, accompagnée de Jean, qui sautaitplus haut quelle et qui partageait tout son bon-heur. Une heure après, M. de Rosbourg était deretour et rentrait chez Mme de Fleurville. Eh bien, mon ami, quelles nouvelles? – La pauvre femme est mourante; elle na pasdeux jours à vivre; elle a une petite fille dun an,qui Nest guère en meilleur état de santé que lamère; elle est ruinée par ce galérien qui la épouséepour son argent; Et enfin elle veut voir Sophiepour lui recommander son enfant et lui demanderpardon

RM2CNNE83–. Contes mauve . ue sur son giron. » De son côté, elle pensait : « Que je te pince seul, un jour, Sale Chat, mon ami, et tu men diras desnouvelles! » Elle nosait cependant pas se venger ouvertement de lui, car elle savait Gris-Gris dans les bonnes grâces du bûcheron, et il nentrait pas dans ses vues de LA FILLE AUX LOUPS. Mécontenter son mari. Gießen sie ce dernier, elleétait tout miel et sucre. Lorsquil sinquiétaitparfois des traits tirés, de la maigeur dAné-mone : – Dis donc, la Louise, elle na pastrop bonne Mine, la petiote ? 11 me sem-ble quelle va toujours sainai-gissant ? - CEST quelle Grand

RM2CENB7X–. Bélisaire. IT-il, mon ami ! Et quekbienfaits égaleront jamais le Service quevous mavez rendu ? Non, seigneur , luidit le jeune homme, vous nêtes pas assez*riche pour men récompenser 5 Mais char-gez Bélisaire de la reconnoissance i tout«pauvre quil est, il possède un trésor queje préfère à tous les vôtres « Mon trésor estma fille , dit Bélisaire, et je 11e puis mieux,le placer. A ces mots il fit appeler Eudoxe*Ma fille, lui dit-il, embrassez les genoux:de lempereur , et demandez-lui son aveupour donner votre main au vertueux Ti-bère. Au nom , à la vue de Justinien lepremiere mouvement de la

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