Le Pantheon Hvgvenot découert et ruiné contre l'aucteur de l'Idolatrie papistique, Ministre de Vauuert, Cy deuant d'Aigues mortes . ercde la faindte Trinité , dvn ieul Dieu & troisperionnes; Mais encore la vciitédvn vray6c feul Dieu.Si U fiu ne II senfuit de la mefme doktrin , que leprend fin ef- pj Père ncftiion plus engendré que le très carjence upe- comme -bien arrumentoit fainct Atha-re.ne. & •, • eare [0à fa. Naie, & les anciens Peces-contre les Ariens,il ne fe peut dire que le Fils foie engendré duPere,sil na eu Ton elïence de luy : Et par ainlîCaluin deftruicl: Le nomb

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Le Pantheon Hvgvenot découuert et ruiné contre l'aucteur de l'Idolatrie papistique, Ministre de Vauuert, cy deuant d'Aigues mortes . ercde la faindte Trinité , dvn ieul Dieu & troisperionnes; mais encore la vciitédvn vray6c feul Dieu.Si U fiu ne II senfuit de la mefme doctrine , que leprend fin ef- pj|s ncftiion plus engendré que le Père carjence upe- comme très-bien arrumentoit fainct Atha-re.tlne peut r n . & • , • eare [0à fa. naie, & les anciens Peces-contre les Ariens, il ne fe peut dire que le Fils foie engendré duPere, sil na eu Ton elïence de luy : Et par ainlîCaluin deftruicl: le nombre des perionnesDiuines, & le Myftere de la faintte Trinité.Le Miniftre donc ne deuoitpas tant taire dupa»-j îi. mauuais, criant contre moy, maudite & de-fesferee tmposHre, ^a.rce que iauoisefcrk, quefélon la doctrine de Caluin, le Fils nelloitnon plus engendré que le Père j fi ce frelonpouuoit deucnii homme , & te recognoiitre, il crieroit ignorance maudite contrefoy-mefme 3pour nauoir veu nylantecedent.ny laconfequen-ce neceilaire de ce mau-dit blafpheme. JNEP DESCOVVERT ET RVI Ne. l£$. INEPTIES DE CALVIN, vhilofoyhant en naturalise fur la fatrcieTrinité. Similitudes des Peres.your facili-ter la foy de ce Myflere. Ignorance, tfr im-rnodefrie du Aiimjlre. Chapitre LXIÎ. R Caluin voulant prouueique le Fils nauoit pas elfen-ce du Pcre, vloit de cet ar-gument à Ton aduis inuinci-ble, &le Minière lerema-nie, comme tel ; Si le Père a Argumët de engendré le F///, luy donnant fon elfetiCe^ou il la la Philofo-. s . , y. ? il r rA ! Pkie de Cal- luy a donne en partie, qui ejt forger vn Dieu * Mn x inldemj/j & defchtrer vtllatnement lejfence Dtut- Cj, § t.ne; ou le Père la retenue toute, & efl demeuréDieuj Ies vs-Christ doncnefratjuvnDieu figuratif & vn Dieu ùtnlaire^ & ce dict, concluoit que le Fils nauoit point léflencedu Père : Et ceit lantécédent, & les conie-quences infallibles, aufquelles le Miniftre ditque le nay reipondu j mais il fe trompe, &ve

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