. "Traité d'anatomie humaine: beschreibende Anatomie, Histologie, Développement. ns-antéro postérieur, laponévrose épicranienne réunit les Deux musclesoccipitaux aux Muskeln frontaux (flg. 494, 3). -En arrière, elle Jette entre lesdeux occipitaux un prolongement qui Les sépare entièrement et vient prendreinsertion sur la protubérance externe-occipitale, ainsi que sur le Tiers interne de la ligne courbe Supérieure de loccipital.-En Avant, Elle un envoie prolongementangulaire * Wichtige entre les deuxfrontaux, qui se trouvent ainsi isolés Lun delautre au niveau de leur Insertion supé-rieure

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. Traité d'anatomie humaine : anatomie descriptive, histologie, développement. ns antéro-postérieur, laponévrose épicranienne réunit les deux musclesoccipitaux aux muscles frontaux (flg. 494, 3). — En arrière, elle jette entre lesdeux occipitaux un prolongement qui les sépare entièrement et vient prendreinsertion sur la protubérance occipitale externe, ainsi que sur le tiers interne de la ligne courbe supérieure de loccipital.— En avant, elle envoie un prolongementangulaire moins important entre les deuxfrontaux, qui se trouvent ainsi isolés lun delautre au niveau de leur insertion supé-rieure (fig. 353). Au-dessous de ce prolonge-ment, le frontal droit et le frontal gauchesont entièrement confondus. — Latérale-ment, laponévrose épicranienne descendsur laponévrose temporale, vers le pavillonde loreille et larcade zygomatique. Mais, en séloignant de la ligne médiane, ellediminue en épaisseur et en importance. Cestainsi que, dans le voisinage de larcade zygo-matique, elle se trouve réduite aux dimen-sions dune simple lame celluleuse. Elle. ^ glisse de haut en bas sur la face externe de Fig. 49i. Schéma représentant le muscleoccipito-frontal. i, 1. muscle frontal. — 2, 2, muscle occipital. —3. aponévrose épicranienne. — 3 prolongement quecelte dernière aponévrose envoie entre les deuxmuscles occipitaux. cette arcade osseuse et vient se perdre peuà peu dans le tissu cellulaire de la régionmassétérine. Considérée au point de vue de sa struc-ture, laponévrose épicranienne est consti-tuée par trois ordres de faisceaux : des fais-ceaux antéro-postérieurs ou longitudinaux, des faisceaux transversaux et des faisceaux obliques. Dans la région temporale, elle donne attache au muscle auriculaire supérieur et au muscle auriculaireantérieur. Morphologiquement, la calotte aponévrotique doit être considérée, au même titreque les deux muscles quelle réunit, comme une portion du pannicule charnu de latète, qui, primitivement

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